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Actualités pro

Orthopédie - L’offre de chirurgie du membre inférieur se développe

Installé depuis deux ans à l’Hôpital Privé du Val d’Yerres et à la clinique Paris Lilas, le docteur Majed Issa est spécialiste de la chirurgie ostéoarticulaire mini-invasive des membres inférieurs, en particulier la chirurgie du sport et de l’arthrose.

La pose de prothèse de hanche se fait par voie d’abord antérieure miniinvasive, sans section musculaire, avec pour bénéfices une récupération fonctionnelle plus rapide et moins douloureuse en postopératoire immédiat, et un risque de luxation encore plus réduit. Une planification digitale préopératoire des prothèses de hanche est réalisée systématiquement, en 2D ou 3D dynamique avec simulation de mouvement. Le plateau  technique complet doté d’équipements de dernière génération, avec récemment l’acquisition d’une table orthopédique radiotransparente en fibres
de carbone, offre également au chirurgien une qualité d’exercice optimale. Les protocoles de récupération accélérée après chirurgie (RAAC) permettent à la majorité des patients de rentrer chez eux 1 ou 2 jours après une pose de prothèse de hanche, et 3 ou 4 jours après pour une prothèse de genou.

Chirurgie des sportifs et des jeunes

Genou. Les traumatismes du genou sont très fréquents chez les jeunes sportifs, occasionnant souvent des lésions ligamentaires et méniscales.
Nous réalisons les reconstructions des ligaments croisés par arthroscopie avec la technique DT4, qui est moins invasive et permet une récupération plus rapide et moins douloureuse. Les sutures méniscales se font également par arthroscopie, à l’aide d’ancres résorbables. Dans la quasi-totalité des cas, ces prises en charge se font en ambulatoire.
Hanche. La chirurgie préservatrice de la hanche comprend un large éventail de techniques en plein essor depuis quelques années seulement. Nous pratiquons l’arthroscopie de la hanche, qui permet de réparer des lésions de cartilage ou du labrum, d’exciser des zones de conflit osseux comme
dans le conflit fémoroacétabulaire, ainsi que de corriger certains défauts anatomiques.
L’ objectif est de retarder ou d’éviter avec l’âge l’évolution de l’articulation vers l’arthrose. Dorénavant, une douleur de hanche n’est pas forcément
synonyme de prothèse !

DR MAJED ISSA, CHIRURGIEN ORTHOPÉDISTE

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