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Chirurgie robotique - Une technologie de pointe au service des opérations délicates

Avec plus de 500 procédures réalisées depuis l’acquisition du robot chirurgical da Vinci, l’Hôpital Privé La Casamance dispose aujourd’hui d’une réelle expertise en chirurgie robotique, dont l’apport s’avère considérable, notamment dans le cadre d’interventions complexes et délicates.

Le plateau technique dispose depuis 2017 du robot chirurgical da Vinci, qui offre de nouvelles possibilités de chirurgie mini-invasive ultra performante.
Utilisé principalement en chirurgie viscérale digestive, thoracique, urologique et gynécologique, le robot met à disposition des chirurgiens un arsenal technologique de pointe. Ses bras articulés disposent d’une caméra assurant une vision en 3 dimensions et sont équipés d’instruments dont les systèmes de rotation à 360° assurent une dextérité optimale et une extrême précision des gestes chirurgicaux.

Moins de risque pour le patient

Contrôlé en temps réel depuis une console ergonomique par des chirurgiens spécifiquement formés à l’IRCAD (centre de formation international situé à Strasbourg, formant plus de 8 000 chirurgiens par an à la chirurgie mini-invasive), tout comme le personnel de bloc opératoire, le robot offre un réel confort pour intervenir en zones délicates ou difficiles d’accès et s’avère particulièrement utile pour la pratique d’interventions lourdes, compliquées ou en chirurgie de recours.
Incisions minimes, diminution des risques de saignement, d’infections et de complications post-opératoires, moins de douleurs, temps de récupération plus rapides… les bénéfices sont nombreux pour les patients, dont les sorties sont, le plus souvent, programmées dès le lendemain de l’opération.
Avec déjà 500 procédures réalisées, cette technologie de pointe permet à l’Hôpital Privé La Casamance de rayonner sur tout le territoire, en particulier en chirurgie digestive, urologique (rein, prostate), thoracique (poumons) ou gynécologique. Cela permet pour les patients une reprise rapide des activités et si besoin une prise en charge précoce de chimiothérapie.

Cette voie d’abord est aussi privilégiée en chirurgie de l’obésité, notamment pour la chirurgie de recours, ainsi que pour la réalisation des by-pass gastriques pratiqués sur des patients difficiles, obèses et souvent polypathologiques. Une spécialité pour laquelle l’hôpital dispose déjà d’une prise en charge globale et qui devrait, suite au dernier décret officiel, aboutir sur une autorisation spécifique.

DR PIERRE LEYRE ET DR NICOLAS PLAISANT, CHIRURGIENS VISCÉRAUX ET DIGESTIFS

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